Des encres sur le papier
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Parlez-nous un peu de vous Celina Rose...


D’où vous est venue cette passion
pour l’écriture ?

Cette passion pour l’écriture m’est venue lorsque j’étais petite. J’ai tout d’abord commencé comme toutes les jeunes filles (enfin je crois) avec un carnet secret dont j’étais vraiment fière. Et puis un jour, lors de mes 9 ans, un petit bout de femme est apparu dans ma tête et il fallait que je lui fasse vivre plein d’aventures. J’ai donc fait mon tout premier écrit. Ma famille, mes amis l’ont lu et ont adoré. J’ai donc continué et maintenant je ne m’arrêterai plus jamais, et j’ai toujours un carnet secret .

Quels sont les auteurs qui vous ont inspiré(e) ?
Je ne me suis pas vraiment inspirée d’auteurs, plutôt de la lecture en général. J’écris à ma façon et je ne regarde pas comment écrivent les autres. Chacun sa technique. Après, les auteurs que j’ai beaucoup aimés, je ne pourrais pas tout citer parce qu’il y en a tellement avec de belles écritures. Ceux qui me viennent en tête tout de suite, il y a Jamie MC Guire, Tahereh Mafi et Simone Elkeles.

Parmi tous vos romans, de quels personnages
êtes-vous le plus proche ? Pourquoi ?
Ah ah, c’est dur ça. J’aime tous mes personnages J Mais je pense que j’ai beaucoup aimé travailler avec Katya que vous découvrirez en février 2016 dans « Secret de trop ». Engendrer son rôle était vraiment bien car cette jeune fille a vécu des expériences traumatisantes et j’ai pu apercevoir quelquefois la douleur dans le cœur de Katya. J’ai aimé la faire rire et la rendre heureuse après tout ce qu’elle a vécu.  

Comment vous sentez-vous à l’approche
de la sortie d’un de vos livres ?
Mes deux premiers écrits sortiront en février 2016 alors autant vous dire que là, je stresse à mort. C’est vraiment étrange de se dire qu’on a réussi à réaliser notre rêve et qu’on va faire partager notre monde aux lecteurs. Et puis je me dis : ouah, mon roman est génial, tout le monde l’aime pour l’instant. Et ensuite je me ronge les ongles en disant : mais s’il ne marchait pas ? Si les lecteurs n’aimaient pas ?  Mais un jour quelqu’un m’a dit : On ne peut pas être un bon auteur sans douter de soi.

Comment réagissez-vous face aux critiques négatives ?
Comme mes romans ne sont pas sortis je ne peux pas encore exactement vous dire, mais je sais que ça pourra me blesser parfois, mais que les auteurs avec qui j’ai pu parler m’ont conditionnée et m’ont dit de ne jamais lâcher. Ce qui est dans mon tempérament. Et je pense que les mauvaises critiques justifiées nous permettent parfois d’avancer malgré les difficultés.

Avec quel(s) auteur(s) aimeriez-vous travailler ? 
Il y en a tellement que je ne pourrais tous les citer. J’aimerais beaucoup écrire avec L.S Ange, Callie J. Deroy, S.Greem, Nathalie Chapouille… des personnes merveilleuses que j’ai pu rencontrer et que j’admire pour leurs écrits.

 


 


 


Cela a-t-il été compliqué de faire publier
votre premier manuscrit et comment 
cela s’est-il passé ?

J’ai tout d’abord envoyé mon manuscrit à 3 maison d’édition, mais à 15 ans, ils ont peur du résultat et m’ont tous répondu qu’ils n’avaient pas assez de places mais qu’ils aimaient mon manuscrit.
Et j’ai ensuite eu la chance de rencontrer Nathalie Chapouille qui m’a montré le monde de l’écriture numérique, qui m’a montré tous les auteurs sur facebook. Ensuite, encore avec de la chance, j’ai contacté L.S Ange pour avoir son avis sur mon roman et pour savoir si elle pourrait m’aider dans les corrections. Avec sa gentillesse elle m’a tout de suite dit oui et mon aventure a commencé. Au bout de quelques semaines, nous étions dans les corrections et elle m’a demandé si je voulais faire une nouvelle pour la Saint-Valentin qui sortira dans la collection La Romance chez L’ivre-Book. J’ai dit oui et j’ai sauté partout. Puis deux semaines plus tard, elle me contacte et me dit qu’elle veut bien prendre mon roman dans sa collection. J’étais vraiment vraiment heureuse, j’ai crié de joie pendant toute la soirée si bien que quand j’ai eu ma maman au téléphone elle a cru qu’il se passait quelque chose de grave. Quand Lilian (l’éditeur de L’ivre-Book) m’a téléphoné, je ne me rendais pas vraiment encore compte tellement j’étais contente.
Pour la publication de mon manuscrit j’ai donc eu de la chance, mais le mot d’ordre est de persévérer et de ne jamais baisser les bras. Si je suis là, c’est que quelques sois son âge, si on le veut, on peut.

Avant de publier un livre, le faites-vous lire 
à des personnes de votre entourage ?
Oui, absolument, car je veux leur avis les plus sincères, savoir si c’est une bonne ou mauvaise idée. Et puis je me suis fait mon petit groupe de lectrices bêtas qui sont vraiment gentilles et que je remercie. L’avis des autres est quand même important donc pour moi c’est une étape nécessaire et ça me permets plusieurs relectures pour les formules de phrases, des passages incohérents, des fautes…

Quels sont vos projets ?
Je continuerai toujours à écrire, d’ailleurs je suis sur un nouveau roman. Mais il faut aussi avant tout que je me consacre à mes études, car à 15 ans, j’ai encore toute la vie devant moi et vivre de l’écriture c’est apparemment assez difficile. J’aimerais devenir actuaire et continuer d’écrire à côté. Un petit bonus, et surtout un plaisir

Pour ceux qui ne connaîtraient pas encore votre univers, que leur diriez-vous afin de les inciter à le découvrir ?
Comme presque personne ne le connaît puisque la publication est pour 2016. Je leur dirais juste de se laisser porter par mon premier univers. Le monde d’une jeune femme qui a souffert et qui va se reconstruire avec l’aide d’un bel homme. J’espère arriver à les faire rire, même juste sourire, à les toucher et leur faire découvrir ce qui aurait pu être une histoire vraie.

 


 




Date de l'interview : Août 2015 © Des encres sur le papier
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