Des encres sur le papier
Avis de lecture / Interviews d'auteurs / Ecriture de nouvelles...
  • Accueil
  • Rencontres d'auteurs
  • Dédicaces
  • Projets littéraires
  • Home sweet home
  • Au-delà de la plume d'auteur
  • Paroles d 'auteurs
  • Avis de lecture
  • Je blogue donc je suis
  • L'illustrat'heure
  • Remerciements
  • Pour me contacter
  • Blog & Actus
  • Livre d'Or
  • Facebook
  • Instagram

Chet Williamson

Chet Williamson, né le 19 juin 1948, est l'auteur de près de vingt livres et plus d'une centaine d'histoires courtes publiées dans "The New Yorker", "Playboy" "Esquire" et de nombreux autres magazines et anthologies.

Dans ma bibliothèque

- The Crow - Les ailes de la mort

Mes avis

- The Crow - Les ailes de la mort
Photo
Photo

The Crow - Les ailes de la mort

Auteur : Chet Williamson
Genre : Terreur
Amy Carlisle, directrice d'école, s’épanouit dans son travail. Les enfants dont elle a la responsabilité sont comme les siens. Quant un sénateur annonce sa visite dans son école, Amy est plus que heureuse. Mais cela va tourner au drame. En effet, les Fils de la Libre Amérique, des extrémistes voulant que seul la race blanche peuple la Terre font exploser l'école. Seulement, le sénateur n'y était pas. Mais Amy si, ainsi que dix enfants de tout âges. Grâce au Corbeau, la jeune femme va ressusciter pour venger sa mort et celle de ses enfants ..

Second roman de la série "The Crow" que je lis, ce nouvel opus m'a moins emballé que "Ce que dit le corbeau" de David Bischoff. Je n'ai pas réussi à être totalement imprégné par l'ambiance noire du récit, bien que ce dernier soit très bien écrit. Dans ce monde de noirceur et de vengeance, Chet Williamson place des touches de poésies, ce qui rend l'histoire d'Amy "très belle". Le lecteur sera doublement "révolté" par les actes des meurtriers, car non seulement le fait qu'ils soient racistes à un point de non-retour est déjà choquant, mais le fait qu'ils soient prêts à tuer des bébés et que cela ne leur fasse rien est encore plus indescriptible. Ainsi, l'auteur dénonce le racisme dont certaines personnes font preuve chaque jour, et les actes que ces dernières sont capables de faire envers ceux qu'elles considèrent comme "différents". Contrairement à l'opus signé David Bischoff , le corbeau est ici muet, ce qui n'apporte pas cette petite touche d'humour au roman. La fin est triste mais poétique, ce qui prouve une fois de plus que "The Crow" est un univers certes violent mais que derrière tout cela se cache un message, une dénonciation.
Powered by Create your own unique website with customizable templates.