Jacques P. Fleurance
Jacques P. Fleurance est créateur d’entreprises dans les secteurs du jeu, du marketing et de la communication aux États-Unis, en France et au Japon.
Pionnier de l'Internet en France, hétéroclite, il fut également membre fondateur de club de dégustation de whisky.
Passionné par le symbolisme, l’ésotérisme et par l’histoire médiévale, toujours à la recherche de nouvelles découvertes, il décide, en 2005, de renouveler sa créativité à travers l’écriture de romans historiques.
Connu sous le nom de Jack Jawx, "Le jour où Dieu est mort" (2008) est son premier roman.
Pionnier de l'Internet en France, hétéroclite, il fut également membre fondateur de club de dégustation de whisky.
Passionné par le symbolisme, l’ésotérisme et par l’histoire médiévale, toujours à la recherche de nouvelles découvertes, il décide, en 2005, de renouveler sa créativité à travers l’écriture de romans historiques.
Connu sous le nom de Jack Jawx, "Le jour où Dieu est mort" (2008) est son premier roman.
Dans ma bibliothèque...- Le jour où Dieu est mort
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Mes avis- Le jour où Dieu est mort
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Le jour où Dieu est mortAuteur : Jacques P. Fleurance
Genre : Thriller Franc-maçon passionné d'histoire ancienne et d'ésotérisme, Jaime Aigremont accueille chez lui Patrick Ambroise, un vieil ami. Quand celui-ci est abattu, la police ne tarde pas à émettre des doutes : Jaime n'était-il pas la personne visée ? A-t-il en sa possession des informations trop sensibles aux yeux de certains ? Depuis quelque temps, Jaime, orphelin, mène en effet avec son père adoptif des recherches sur ses origines. Une quête qui le mène jusqu'en Écosse auprès d'un ordre ancien de Chevaliers Templiers et qui semble déranger... Ce roman sur les Templiers est assez inégal dans son ensemble. Côté points positifs, l'enquête est sympa à suivre, le jeune Stéphane (7 ans) est très attachant - notamment lors du chapitre 25 - tout comme Ravel, le flic enquêtant aux côtés d'Aigremont. Les jeux de mots de certains chapitres sont amusants et les rebondissements présents dans l'intrigue sont nombreux et inattendus, ce que l'ont attend donc d'un thriller. Concernant le négatif, il y a beaucoup d'informations, si bien que l'on s'y perd par moment. J'aime quand il y a un apport historique, surtout sur cette période, mais là c'était vraiment trop d'un coup. De fait, le récit prend une longueur non désiré par le lecteur perdant ainsi l’engouement que l'enquête pourrait offrir. De plus, j'ai trouvé certaines coupures de chapitres étrange, ces derniers se faisant parfois en plein milieu d'un discours sans qu'il n'y ai une raison pour ça (une interruption, une action offrant un peu de "répit", une révélation incroyable...). C'est pas non plus gravissime mais ne sachant pas pourquoi, c'est assez embêtant. Et là, arrive le dernier chapitre... Comme beaucoup de lecteurs je pense, je n'ai pas su quoi en penser. Je n'aime pas trop formuler ça comme ça, mais je ne sais pas comment le faire autrement. Est-ce de "L'intelligence" ? De "L'arnaque" ? Question qui restera en suspens je pense... |