Jay Alis
Jaal Jay Alis (pseudonyme tiré du prénom de ses enfants : Jason et Allison) est un écrivain français, né en 1961 en Alsace. Il est notamment l'auteur de la saga Peter Poth.
Retrouvez l'interview exclusive de Jay Alis.
Dans ma bibliothèque...
- Peter Poth et le monde magique du verso
- Peter Poth et le paradis de glace - Peter Poth et l'incroyable forêt - Peter Poth et le pacifique cristal - Peter Poth et la galaxie des Irquaïs - Peter Poth et la fin de Karasul - PréArkx le monde inconnu - L'usurpateur - L'arche - Le carnet Arkx - GèneEthique - Peter Poth et le Big Bounce |
Mes avis
- L'arche
- Le carnet Arkx - L'usurpateur - GèneEthique - Peter Poth et le Big Bounce |
L'arche
Auteur : Jay Alis
Genre : Thriller Tom le SDF, Moïra l’architecte et Charlie l’homme d’affaire milliardaire. Voici les trois principaux protagonistes de l’histoire. L’un vit sous un pont et ses jours sont comptés, l’autre désire construire un abri pour les SDF, le dernier n’ayant aucune sensibilité à la misère humaine. Alors, quand le milliardaire tombe amoureux de l’architecte, amie de Tom, et que celle-ci refuse ses avances, une seule idée lui vient en tête…
Roman très émouvant ! Il s’agit là d’une ode à l’amitié, mais également d’une dénonciation sur le regard porté sur autrui, sur les préjugés. Bien que le roman soit court et qu’il se lise vite, l’auteur parvient à accrocher le lecteur tout le long du livre. Nous sommes projetés dans cet univers où l’argent est plus que jamais présent mais qui s’estompe peu à peu grâce à une chose plus forte : l’amitié. Après fermeture du livre, le lecteur ne peut s’empêcher d’être ému par ce qu’il vient de lire et de réfléchir sur le monde dans lequel il vit car, par certains aspects, ce livre reflète la réalité (certains hommes riches sont insensibles à la condition humaine). Bref, "L’arche" est un coup de cœur que je recommande vivement ! |
Le carnet Arkx
Auteur : Jay Alis
Genre : Carnet d'illustrations Le Carnet Arkx se divise en sept parties. Il met en images l’hepatologie Peter Poth en regroupant près de 200 photos et illustrations, ainsi que 200 textes liés aux aventures.
Le fait d'avoir réalisé un carnet d'illustrations pour la saga Peter Poth est vraiment intéressante ! En effet, j'adore essayer de me représenter les décors et les personnages des livres que j'ouvre. Avec "Le carnet Arkx", le lecteur peut ainsi découvrir si les visages et décors qu'il s'imaginait étaient oui ou non exacts. De plus, l'auteur de la saga (et également illustrateur de ce carnet), a dessiné l'ouverture de chaque porte que Peter traverse, et il faut le dire, cela m'a beaucoup plu. Outre les illustrations et les précisions écrites sur tel ou tel objet et/ou événement, Jay Alis offre des petites piqûres de rappel historique (comme les 7 merveilles du mondes) , ce qui ne fait pas de mal, bien au contraire ! Un petit dessin humoristique est également présent, inutile mais divertissant. Je ne donne pas de note pour cet ouvrage, car il est difficile d'en donner une. Petit conseil : Après ou pendant la lecture de la saga, n'hésitez surtout pas à ouvrir ce très bel ouvrage pour mieux visualiser ce que vous lisez. J'ai lu la saga il y a plus de trois ans, et je dois avouer que certaines choses n'étaient plus dans mes souvenirs. |
L'usurpateurAuteur : Jay "Jaal" Alis
Genre : Thriller A peine a-t-il lu un mail des plus étranges, que Adam Scott voit sa vie basculer dans l'enfer. Dépossédé totalement de son identité, il devra coûte que coûte découvrir la vérité avant qu'il ne soit trop tard et qu'il ne termine sa vie en prison... Ayant déjà lu ce roman il y a quelques années déjà, j'ai voulu le relire grâce (à cause ?) du roman "Cadran" de Sébastien Bouchéry, dont l’intrigue de base me paraissait similaire. Je me rappelle l'avoir beaucoup aimé à l'époque, j’espérais donc qu'il en soit de nouveau pareil. L'intrigue commence sans perdre de temps, tout s'enchaînant très vite, peut-être un peu trop, si bien que le lecteur n'a pas réellement le temps d'être entièrement happé par la situation. De fait, le côté haletant n'est pas aussi intense qu'il n'aurait dû l'être, bien que la machination dans laquelle se retrouve le personnage principal soit machiavélique. Nous assistons donc à un scénario des plus incroyables, orchestré par une personne sans une once de remords, prête à tout pour arriver à ses fins. La fin se révèle être émouvante, clôturant ainsi ce thriller diabolique sur une très jolie touche. |
GèneEthiqueAuteur : Jay "Jaal" Alis
Genre : Thriller Il existe une maladie connue, rarissime, qui développe une force extraordinaire chez certains mammifères. Le sujet porteur de cette mutation génétique voit sa force s’accroître de quarante pour cent. Partant de la cellule souche d’un animal atteint, un scientifique, Gary Van Coven, va réussir à implanter ce gène sur des embryons féminins. Son étude secrète a pour but de corriger l’injustice du comportement humain engendrant l’esclavagisme de la femme, sous toutes ses formes, depuis la nuit des temps. Malheureusement, les recherches de Van Coven vont dépasser les frontières du laboratoire pour tomber entre les mains de groupes radicaux, dont l’intérêt n’est certes pas de voir la force d’une femme égaler ou surpasser celle d’un homme. Mais qu’adviendrait-il si le gène animal était implanté sur un sujet humain déjà porteur de cette maladie ? En ouvrant ce roman, je n'avais aucune inquiétude, connaissant bien la plume de l'auteur depuis quelques années déjà. Le résumé, glaçant, fait office de prémices à l'histoire, si bien que le lecteur entre dans l'intrigue sans avoir vécu l'implantation des gènes sur Esther, l'héroïne du roman... Bien que court, "GèneEthique" est très complet, mettant dans l'ambiance directement. A un moment donné, j'ai tout de même eu peur que l'auteur est choisi la facilité. En effet, plusieurs pages sont en fait des "copiés-collés" d'articles Internet, si bien que le risque de trop plein d'informations en dépit de l'intrigue ne venant gâcher la lecture était pratiquement présent. Concernant la force extraordinaire du personnage principal, Jay Alis nous offre des flash-backs de ses actions, en mode "super-héroïne", que ce soit à tout âge. Encore une fois, à travers ce roman, nous voyons comment l'Homme, voulant supplanter Dieu, voit sa création lui échapper. Outre cela, l'auteur aborde le sujet de la religion et tout particulièrement du point de vue de celle-ci sur les femmes, point de vue absolument choquant et révoltant. Le lecteur n’éprouve donc aucune pitié envers ces Hommes (si on peut les considérer comme tels, étant donné leurs actes) quand ils se font royalement battre par Esther. Les dialogues ne m'ont pas parus percutants, les trouvant par moments peu "convaincants", préférant ainsi le texte en lui-même. Ce roman n'est pas un coup de cœur, mais il m'a fait passer un bon moment, Jay Alis ne m'ayant pas déçu une fois de plus. |
Peter Poth et le Big BounceAuteur : Jay "Jaal" Alis
Genre : Fantasy Et si le Monde Inconnu Arkx n’était pas l’origine de l’univers ? S’il n’était qu’un bouclier servant à réguler la force la plus inimaginable de tous les temps ? Que ferions-nous si, avec elle, tout devait renaître ? Plutôt inattendu, ce tome 8 vient clore définitivement la saga Peter Poth entamée il y a longtemps (j'ai mis du temps avant de me plonger dans cet ultime aventure, mais il y a eu 5 ans entre le 7ème tome et celui-ci). Même si je ne me rappelais pas de tous les événements et avant même d'entamer ma lecture, j'étais content de retourner dans l'univers de l'auteur. Les noms des protagonistes (Coridjaska, HP, Tronc-De-Dread entre autres) m'ont de suite fait revenir quelques années en arrière, lors de ma plongée dans le monde fantastique de Jay Alis (qui, au passage n'écrit plus, ce que je trouve dommage). Beaucoup plus court que ses confrères "Peter Poth et le Big Bounce" est aussi le plus complexe, mélangeant physique, mathématiques, et sciences ce qui n'est pas toujours simple à suivre. Personnellement, je pense pas que ce huitième tome était utile. En revenant vers ses lecteurs avec l'univers et les personnages qui l'ont fait découvrir, Jay Alis fait ici semble-t-il, ses adieux à l'écriture. Même si ce n'est pas un "au revoir" parfait, il a eu le mérite de le faire en compagnie de sa "famille littéraire", pour remercier ses fans. |