Des encres sur le papier
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Parlez-nous un peu de vous Michel Bussi...


D’où vous est venue cette passion
pour l’écriture ?

Elle a toujours été présente, d’aussi loin que je me souvienne.  Je suis né avec elle.

Quels sont les auteurs qui vous ont inspiré(e) ?
En vrac, Boris Vian, Serge Brussolo, Sébastien Japrisot, Agatha Christie, Tolkien…

Parmi tous vos romans, de quels personnages êtes-vous le plus proche ? Pourquoi ?
Mes préférés, là aussi, en vrac ? Allez, j’en choisi un par roman : Ted Silva le tueur à gages pour "Omaha crimes", le commissaire Paturel pour "Mourir sur Seine", Clara la secrétaire de mairie pour "Sang Famille", la petite Fanette pour "Nymphéas noirs", Malvina de Carville pour "Un Avion sans elle", Imelda la cafrine pour "Ne lache pas ma main".

Comment vous sentez-vous à l’approche
de la sortie d’un de vos livres ?

Un trac énorme, forcément… qui augmente avec les nombre de lecteurs et de lectrices qui attendent le livre…

Comment réagissez-vous face
aux critiques négatives ?

D’abord, ces critiques négatives ne viennent vraiment que quand vous avez un peu de succès. Avant, c’est plutôt l’indifférence, le silence, l’absence de critiques. A partir du moment où vous recevez beaucoup de critiques de lecteurs sur les sites en ligne, plusieurs dizaines ou plusieurs centaines, il y en a forcément un certain pourcentage de négatives, voire de très négatives, mais elles sont très largement compensées par la chance inouïe et incroyable de recevoir tous ces compliments de lecteurs et lectrices. Donc les critiques négatives font partie du jeu, surtout lorsqu’elles sont rédigées avec humour.
Avec quel(s) auteur(s) aimeriez-vous travailler ?
J’aurais beaucoup de mal, je crois, à écrire à quatre mains, ou davantage. Ou alors à l’occasion des jeux spécifiques, comme celle des nouvelles du concierge masqué à laquelle j’ai participé il y a quelques mois. Par contre, ce travail en équipe est presque obligatoire pour des adaptations de romans ou des scénarios…

Cela a-t-il été compliqué de faire publier
votre premier manuscrit et comment
cela s’est-il passé ?

Oui ! Mon premier manuscrit, "Omaha Crimes", a dormi plus de 10 ans dans un tiroir… Je suis passé par un éditeur régional auquel j’ai "vendu" une biographie de Maurice Leblanc, le père d’Arsène Lupin (Code lupin), pour signer mon premier contrat d’édition. Moralité : je suis persuadé que des dizaines de best-sellers potentiels dorment dans les tiroirs d’auteurs talentueux qui n’ont pas eu ma chance… et qui si vous n’arrivez pas à entrer dans le monde de l’édition par la grande porte (ce qui est très rare), il faut y entrer par tous les autres moyens, fenêtres ou cave, et tenter ensuite de gravir les marches, en se réjouissant de chaque pas franchi.

Avant de publier un livre, le faites-vous lire

à des personnes de votre entourage ?

Oui,  ils sont une dizaine environ, et j’en profite pour les remercier !!!

Quels sont vos projets ?
Un prochain livre qui sortira en mai 2014, en même temps que "Ne lâche pas main" chez Pocket… Une vingtaine de traductions d’Un avion sans elle d’ici à l’été 2014… et j’espère, qu’au moins un projet d’adaptation ciné ou télé aboutisse !

Pour ceux qui ne connaîtraient pas encore votre univers, que leur diriez-vous afin de les inciter à le découvrir ?
Un mélange de roman classique à la française et d’efficacité à l’américaine… Cela donne envie, un tel mélange ?

Date de l'interview : Novembre 2013 © Des encres sur le papier
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