A vous la parole Rodrigo Arramon...
Auriez-vous une anecdote à raconter, positive et/ou négative, qui s’est déroulée durant votre parcours d’auteur ?
Des anecdotes ? J’aime les anecdotes, surtout que j’attire la loi de Murphy comme un aimant… Généralement, c’est lors des salons que je rencontre les lecteurs. Elles ne sont ni négatives ni positives, disons, marrantes avec le recul. Celle qui revient le plus souvent… Je dédicace 90% des fois en compagnie de l’illustrateur des couvertures des Chroniques, Nikus Tim’s. C’est un grand gaillard au crâne rasé. Moi, je suis un moyen gaillard chevelu. A plusieurs reprises des gens nous demandent si nous sommes en couple… Alors, non, nous ne sommes pas en couple. Le plus marrant c’est quand ils posent la question et que nos compagnes ne sont pas loin et qu’elles entendent…
Un jour, je vois arriver devant moi Axel Kahn, le généticien. Je lui avais offert mon livre steampunk, Le Manoir Steamaker. Je ne pensais pas qu’il viendrait. Il me tend la main, parle un petit peu, et je reste presque muet, tout intimidé. J’aime beaucoup ce penseur… Il me souhaite alors « Longue vie et Prospérité ». Un grand moment.
Auriez-vous des conseils à donner pour tous les jeunes auteurs ou ceux qui voudraient se lancer dans l’écriture ?
L’écriture c’est un travail constant, de tous les jours. Il faut écrire régulièrement, même dix lignes. Il faut lire aussi, beaucoup, non pas pour pasticher, mais pour nourrir son vocabulaire. Le talent n’existe pas, seul le travail finira par payer. Enfin, il ne faut pas hésiter à montrer sa production, pas celle qui est destinée à une future édition, mais une réalisée exprès pour cela, sur Scribay par exemple. Il faut alors prendre les critiques constructives et laisser les subjectives de côté. Cela permet d’avancer, d’expérimenter, de trouver un style.
Un mot pour tous les lecteurs qui vous suivent ?
Merci !
Pour faire plus long : merci, car sans vous, rien ne serait possible. N’hésitez pas à m’écrire, à venir me voir dans les salons pour échanger. Merci pour votre fidélité, vos mots d’encouragements
Des anecdotes ? J’aime les anecdotes, surtout que j’attire la loi de Murphy comme un aimant… Généralement, c’est lors des salons que je rencontre les lecteurs. Elles ne sont ni négatives ni positives, disons, marrantes avec le recul. Celle qui revient le plus souvent… Je dédicace 90% des fois en compagnie de l’illustrateur des couvertures des Chroniques, Nikus Tim’s. C’est un grand gaillard au crâne rasé. Moi, je suis un moyen gaillard chevelu. A plusieurs reprises des gens nous demandent si nous sommes en couple… Alors, non, nous ne sommes pas en couple. Le plus marrant c’est quand ils posent la question et que nos compagnes ne sont pas loin et qu’elles entendent…
Un jour, je vois arriver devant moi Axel Kahn, le généticien. Je lui avais offert mon livre steampunk, Le Manoir Steamaker. Je ne pensais pas qu’il viendrait. Il me tend la main, parle un petit peu, et je reste presque muet, tout intimidé. J’aime beaucoup ce penseur… Il me souhaite alors « Longue vie et Prospérité ». Un grand moment.
Auriez-vous des conseils à donner pour tous les jeunes auteurs ou ceux qui voudraient se lancer dans l’écriture ?
L’écriture c’est un travail constant, de tous les jours. Il faut écrire régulièrement, même dix lignes. Il faut lire aussi, beaucoup, non pas pour pasticher, mais pour nourrir son vocabulaire. Le talent n’existe pas, seul le travail finira par payer. Enfin, il ne faut pas hésiter à montrer sa production, pas celle qui est destinée à une future édition, mais une réalisée exprès pour cela, sur Scribay par exemple. Il faut alors prendre les critiques constructives et laisser les subjectives de côté. Cela permet d’avancer, d’expérimenter, de trouver un style.
Un mot pour tous les lecteurs qui vous suivent ?
Merci !
Pour faire plus long : merci, car sans vous, rien ne serait possible. N’hésitez pas à m’écrire, à venir me voir dans les salons pour échanger. Merci pour votre fidélité, vos mots d’encouragements